C’est sous une pluie battante que nous prenons bus, train, autre bus pour retourner à Naarden, et que nous finissons les derniers 500 mètres à pied qui achèvent de nous tremper. C’est une pluie bien là qui dégouline tout droit le long des habits et ruisselle sur les cuisses, une bonne pluie qui mouille franchement. Elle me rappelle soudain la Nouvelle-Zélande et quelque chose de joyeux m’envahit.
Certains participants d’hier ne sont pas là aujourd’hui, nous sommes moins nombreux. Sandra anime un moment d’intégration de ce que nous avons vécu hier. Nous discutons assez longuement de ce que nous pouvons faire ensemble de nos potentiels individuels. C’était l’idée de cette réunion. De jolies choses émergent, des possibles enthousiasmants, des idées marrantes, des témoignages enrichissants et surtout, ce que je préfère, émerge majestueusement l’humain de bonne volonté dans cet espace sécurisé que nous avons créé, sachant que nous sommes entre gens de même vibration et de même intention.
Un délicieux chili vient ensuite remplir nos estomacs et une fois de plus, nous créons une éclaircie météo le temps de pouvoir manger dans le jardin. Une magie que nous commençons à considérer comme banale.
Quelques personne encore nous quittent et c’est à 11 personnes que nous participons au mini séminaire que Sandra a intitulé « The good, the bad and the ugly ». L’idée étant que nous avons tous nos talents et nos forces mais aussi nos boulets et nos probèmes. Dès lors, comment allons-nous avancer et comment allons-nous intégrer qui nous sommes à ce point, ce que nous savons et ce que nous voulons.
Sandra propose ensuite un exercice des plus édifitants. Par paires, nous exposons notre désir et notre passion à l’autre qui devra ensuite l’exposer au groupe. Je (re)parle de mes mandalas à Sagy qui, à son tour, me parle de sa passion d’éducation. Le premier exercice dans lequel je dois verbaliser mes intentions m’apporte de nouveaux éléments, tant il s’agit d’être claire dans la communication de mon rêve. Premier bénéfice. Le second arrive quand Sagy expose publiquement mon désir à sa façon, car non seulement il le fait bien mieux que je ne l’aurais fait, mais il a capté dans mon discours des aspects que je ne m’étais pas encore révélés à moi-même, et que je n’aurais peut-être jamais vus sans lui.
L’exercice répété par tout le monde m’émeut vraiment. Comment nous savons être bienveillants, lumineux et clairvoyants quand il s’agit des autres! J’adore les transhumains que nous sommes en train de devenir.
Nous décidons de traîner la soirée en cette chaleureuse compagnie et c’est toujours dehors que nous partageons un spaghetti bolognese géant, de la bière, du vin et de la joie. Vers 22h, nous appelons un Uber qui décline l’offre de la course, tellement nous nous trouvons au milieu de nulle part, sans compter que les travaux de l’autoroute bloquent toujours la circulation. C’est finalement en taxi que nous rentrons et la course nous coûte le double du prix habituel, c’est dire les détours.
Un week-end chargé en énergies, fertiles en idées et inspirations. Je me suis vue
commander un mantradala-logo pour le « Master’s Hub » que nous venons de créer. Je sens déjà le plaisir que je vais avoir à le faire.
Il pleut toujours quand je ferme les yeux sur cette journée « marche d’escalier ». Je sens que je viens de franchir un seuil vers le reste de ma vie. J’adore quand ces moments-là sont conscients sur le moment.
Certains participants d’hier ne sont pas là aujourd’hui, nous sommes moins nombreux. Sandra anime un moment d’intégration de ce que nous avons vécu hier. Nous discutons assez longuement de ce que nous pouvons faire ensemble de nos potentiels individuels. C’était l’idée de cette réunion. De jolies choses émergent, des possibles enthousiasmants, des idées marrantes, des témoignages enrichissants et surtout, ce que je préfère, émerge majestueusement l’humain de bonne volonté dans cet espace sécurisé que nous avons créé, sachant que nous sommes entre gens de même vibration et de même intention.
Un délicieux chili vient ensuite remplir nos estomacs et une fois de plus, nous créons une éclaircie météo le temps de pouvoir manger dans le jardin. Une magie que nous commençons à considérer comme banale.
Quelques personne encore nous quittent et c’est à 11 personnes que nous participons au mini séminaire que Sandra a intitulé « The good, the bad and the ugly ». L’idée étant que nous avons tous nos talents et nos forces mais aussi nos boulets et nos probèmes. Dès lors, comment allons-nous avancer et comment allons-nous intégrer qui nous sommes à ce point, ce que nous savons et ce que nous voulons.
Sandra propose ensuite un exercice des plus édifitants. Par paires, nous exposons notre désir et notre passion à l’autre qui devra ensuite l’exposer au groupe. Je (re)parle de mes mandalas à Sagy qui, à son tour, me parle de sa passion d’éducation. Le premier exercice dans lequel je dois verbaliser mes intentions m’apporte de nouveaux éléments, tant il s’agit d’être claire dans la communication de mon rêve. Premier bénéfice. Le second arrive quand Sagy expose publiquement mon désir à sa façon, car non seulement il le fait bien mieux que je ne l’aurais fait, mais il a capté dans mon discours des aspects que je ne m’étais pas encore révélés à moi-même, et que je n’aurais peut-être jamais vus sans lui.
L’exercice répété par tout le monde m’émeut vraiment. Comment nous savons être bienveillants, lumineux et clairvoyants quand il s’agit des autres! J’adore les transhumains que nous sommes en train de devenir.
Nous décidons de traîner la soirée en cette chaleureuse compagnie et c’est toujours dehors que nous partageons un spaghetti bolognese géant, de la bière, du vin et de la joie. Vers 22h, nous appelons un Uber qui décline l’offre de la course, tellement nous nous trouvons au milieu de nulle part, sans compter que les travaux de l’autoroute bloquent toujours la circulation. C’est finalement en taxi que nous rentrons et la course nous coûte le double du prix habituel, c’est dire les détours.
Un week-end chargé en énergies, fertiles en idées et inspirations. Je me suis vue
Il pleut toujours quand je ferme les yeux sur cette journée « marche d’escalier ». Je sens que je viens de franchir un seuil vers le reste de ma vie. J’adore quand ces moments-là sont conscients sur le moment.
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