samedi 16 avril 2016

Shopping massif

Ce matin, nous descendons en ville pour aller au «farmer market» qui n’est pas vraiment un marché fermier mais un marché aux puces. Recrudescence de fièvre acheteuse, je trouve encore une robe super et des babioles.




Nous allons ensuite prendre un pot sur une terrasse au bord de l’océan. et je commande un cheesecake en pensant à Clo — ça rappelle des bons souvenirs — et un chaï.





Le serveur est disert, il papote avec nous, nous détaille la carte. Soudain, il me dit:

— Vous vouliez un chaï, c’était avec du lait d’amandes?

Ah oui, très volontiers, encore mieux! Je regarde Mary Beth et je lui dis :

— Il lit dans mes pensées, ou quoi? C’est exactement ce que j’aime.

«Laisse venir à toi» on disait….










Une petite parenthèse pour dire que le nom du pays se prononce: ha-oua-hi-hi (quatre syllabes) d'une façon délicieuse. J'en profite pour vous présenter deux nouveaux mots hawaiiens, dont je vous laisse deviner la signification.




Après cela, allez, on se fait encore le Macy’s pour bien faire, et là je trouve des barrettes pour les cheveux, un vernis à ongles pile la bonne couleur, une serviette de bain de grande taille avec des tortues hawaiiennes et un super t-shirt pour touristes marqué ALOHA. Contente, moi.
Nous rentrons à la maison pour préparer la soirée, je participe en faisant un guacamole de ma spécialité.

Nous avons lancé l’appel sur facebook, personne n’a répondu positivement, certains nous ont signalé qu’ils ne pourraient pas être là, ils avaient déjà des projets ou étaient en partance pour l’aéroport. A 18h, seuls débarquent Tad et Nicolaï. Herb et Linda arrivent une heure plus tard. Barbecue, salades, dips et coucher de soleil inoubliables, la soirée est — encore — parfaite.








D’autant plus parfaite, la soirée, qu’Alexandra nous a raconté que sa famille possède une maison dans le Lubéron et qu’elle est en vente. Moi, j’ai raconté mon rêve d’un réseau de maisons collectives où nous vivrions en bonne intelligence. Voilà qu’en fin de soirée, Esmeralda a l’idée que j’aurais pu/dû avoir, elle demande à Alexandra les détails sur la vente de cette maison avec l’idée que peut-être, nous pourrions être plusieurs à prendre des parts. C’est la propriété de rêve dans l’endroit de rêve. Je raconte à quel point ça colle avec mon rêve idéal de longue date, et nous laissons des points de suspension. Histoire à suivre, mais va savoir, c'est peut-être bien dans la série «let it come to you».

Je suis un peu triste de n’avoir pas revu Roger et Susan. Heureusement, j’arrive à les joindre juste avant leur départ, ils seront de retour dans le Minnesota ce soir. On se promet qu’on va garder le contact. Sur Facebook, certains ont déjà rejoint leur domicile et font un dernier au revoir sur le groupe. On se manque déjà...






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Voyages en tous genres d'une citoyenne temporaire de la planète Terre. Commentaires bienvenus, mieux encore s'ils ne sont pas anonymes.